Le Premier ministre socialiste fait jouer la fibre nationale pour faire passer sans explosion le plan du FMI et de l'UE. Face à cela, les directions syndicales font tout pour éviter les formes de mobilisations résolues qui seules pourraient faire plier le système. Elles programment au mieux une nouvelle grève de 24 heures avant la fin juin, avec comme on l'a vu samedi, le risque évident que cette tactique décourage le mouvement social. ■
* Tout est à nous ! est l'hebdomadaire du Nouveau parti anticapitaliste (NPA, France) Abonnez-vous !