1. La crise gouvernementale provoquée lors du vote sur la politique étrangère du gouvernement Prodi a été pour l'essentiel une crise de la vérité.
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Solidarité avec Franco Turigliatto
Le comité exécutif du PRC (Parti de la refondation communiste) a déclaré que le comportement du sénateur Franco Turigliatto était incompatible avec la position du parti, en raison de son abstention
Le cadre dans lequel nous devons agir
par Gigi Malabarba
Au sein du PRC, la sensibilité de l'Unione [alliance de centre-gauche] par rapport aux conflits et aux mouvements sociaux avait été présentée comme l'élément principal de rupture de cette coalition
Quel espace pour une critique de gauche ?
Après le vote du Sénat sur la de base de Vicenza on nous demande qui est qui met en danger le gouvernement Prodi. La gauche " radicale » et ses " dissidents » ou " la sirène néocentriste » ?.
Défendre les revendications du mouvement de masse
La situation difficile au Sénat de la République est issue du résultat même des élections.
L'abîme entre les mouvements et la représentation politique
Nous avons tous poussé — pourquoi le nier ? — un soupir de soulagement quand au Sénat on a atteint le cent soixante-deuxième vote. Et Prodi s'est relevé. Et Berlusconi s'est ratatiné.
Quelques repères chronologiques
— Novembre 1989 : Trois jours après la chute du mur de Berlin, le secrétaire du Parti communiste italien (PCI), Achille Occhetto, annonce qu'il faut un nouveau parti à la place du PCI.
Nouvelle phase de la gauche
La récente crise du gouvernement Prodi a joué un rôle d'accélérateur de la réorganisation de la gauche italienne.