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Sommaire Inprecor numéro 611

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SOMMAIRE

Inprecor 611 Janvier 2105

(2015-01)

inprecor n° 611 de janvier 2014 (36 pages, 223 000 caractères, 5,50 €)

Belgique

Il faut gagner! On continue, on lâche rien !

Daniel Tanuro* (2015-01)

La grève de 24 heures du 15 décembre a été un énorme succès. Tout le pays a été paralysé.

Ukraine

La rébellion oligarchique dans le Donbass

Zbigniew Marcin Kowalewski* (2015-01)

État espagnol

Les chemins de Podemos

Manuel Garí* (2015-01)

Héritier politique du Mouvement des Indignés, Podemos connaît une augmentation massive de la participation à ses cercles. Il constitue, de loin, la meilleure initiative de gauche radicale depuis des années dans l'État espagnol. Après débats, sa direction cherche à le convertir en un parti politique centralisé et hiérarchisé centré sur la préparation élections législatives de 2015 avec le leadership charismatique de Pablo Iglesias.

Chaos géopolitique

Les impérialismes au miroir de la crise ukrainienne

Vincent Présumey * (2015-01)

Les interprétations et commentaires dominants concernant les événements en Ukraine se répartissent souvent en deux catégories : pour les uns " l'impérialisme » c'est " l'Occident » et il agresse " la Russie », pour les autres l'Occident est au contraire libérateur et démocratique et, dans la mesure, moindre, où ils emploient ce terme, l'impérialisme serait russe. Toute analyse sérieuse doit au contraire partir du fait qu'il y a plusieurs impérialismes, tout en se préoccupant aussi de définir ce dont elle parle. Bien entendu, à partir du moment où on ne fait pas dans l'unilinéarité, on est obligé de faire un peu plus long : c'est la rançon de la recherche du sérieux.

Burkina Faso

Après la révolte populaire, un " système Compaoré sans Compaoré » ?

Lila Chouli* (2015-01)

Le 31 octobre 2014, Blaise Compaoré a été balayé de la présidence du Burkina Faso après deux journées d'insurrection populaire précédées, quelques jours auparavant, d'une impressionnante mobilisation des femmes à Ouagadougou. Ce qui n'a pas vraiment été une surprise, car son régime a été confronté à des crises, certaines majeures comme celle de 1998 consécutive à l'assassinat du journaliste Norbert Zongo, ou celle de 2011, déclenchée par la mort du collégien Justin Zongo, suite à des sévices policiers. Au lendemain de la reprise en main de la situation par le pouvoir en 2011, le climat était celui " d'une trêve sociale, non d'une démobilisation ». Revenons sur la dynamique ayant permis ce déguerpissement de Blaise Compaoré, le françafricain.